mercredi 28 août 2013

Les Aventures d'Anita Blake, Tueuse de Vampires, Tome 4


Tome 4 - Lunatic Café
de Laurell K. Hamilton
★★★☆

Résumé du quatrième de couverture :
On dirait que je le fais exprès. Je suis tombée amoureuse du chef de meute local. Non, pas un louveteau. Un loup-garou, bien sûr ! Maintenant, il y a des tas de filles dans ma tranche d'âge qui n'arrivent pas à se dégoter un petit ami. Et c'était mon cas avant Richard. Certes, Jean-Claude, mon vampire préféré, ne demanderait pas mieux, mais son côté possessif a tendance à me démotiver. Même si c'était un homme ordinaire, j'aurais déjà du mal à imaginer une vie de couple avec lui. Côté sexe, ça oui : no problemo, je vois très bien, mais sortir... Aller au restaurant, au spectacle, fréquenter ses amis. Franchement non ! On a beau être dans une histoire d'horreur, il y a des limites !

Mon avis :
J'ai aimé ce tome aussi, mais à cause d'une certaine scène, je me suis sentie mal à l'aise tout du long de ma lecture. Celles qui l'ont lu me comprendront peut-être. Je n'arrêtais pas d'y penser.
Enfin bref, comme le dit le résumé ce tome nous fait entrer chez les métamorphes, mais pas que les loups-garous. Je n'arrive pas spécialement à apprécier Richard, je ne comprends pas pourquoi Anita le désire autant. C'est aussi la première série de Bit-Lit où l’héroïne n'a aucune vie sexuelle, il y a souvent de la tension sexuelle, mais c'est tout. Cela change un peu, mais on est déjà au quatrième tome. lol Je trouve Anita très chou dans ses relations avec les hommes et je la comprends, je suis un peu comme elle. 
Comme toujours la fin fut très palpitante, même si l'enquête elle n'était pas très intéressante. J'espère que l'on verra de nouveau Jason. Il est intéressant comme jeune loup. 

Extrait début chapitre premier :
"C’était deux semaines avant Noël. Une période plutôt calme pour relever les morts.
J’affrontais mon dernier client de la soirée. Sur mon carnet de rendez-vous, il n’y avait que son nom, sans précision sur ce qu’il attendait de moi : animer un zombie, buter un vampire ? Ça signifiait probablement qu’il voulait quelque chose que je ne pourrais ou ne voudrais pas faire. Les fêtes de fin d’année, c’est vraiment mort dans notre secteur. Sans jeu de mots. Du coup, mon patron, Bert, accepte un peu n’importe quoi."

416 page

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