vendredi 4 janvier 2013

Charley Davidson, Tome 3

Tome 3 – Troisième Tombe tout droit
de Darynda Jones

Résumé du quatrième de couverture :
Moi c’est Café… euh, Charley. Et il me faut plus de café. Le sommeil c’est l’angoisse : Reyes, le fils du Diable chaud comme l’enfer que j’ai emprisonné pour l’éternité, hante mes cauchemars. Je crois qu’il me hait. Mais est-ce que les criminels accepteraient de me laisser tranquille le temps que je règle ça ? Bien sûr que non. Un type veut que j’enquête sur sa femme disparue… sauf que je sûre que c’est lui qui a fait le coup. Si j’arrive à m’injecter le café en intraveineuse, je devrais pouvoir le prouver. Sauf si mon grincheux de père revient à la charge pour me faire changer de métier parce que détective privée c’est trop dangereux. Bon d’accord, je manque de me faire tuer une fois par semaine, mais c’est pas une raison. Je suis super comme détective … et comme Faucheuse ! Café ?

Mon avis :
- Ouah, ce troisième tome a filé à la vitesse de la lumière ! Et ce n’est pas que parce que je l’ai lu très vite. Charley est très spéciale dans ce tome puis qu’on apprend dès le début que cela fait deux semaines qu’elle a pas dormi. Tout du long du roman elle est déjanté et un peu a côté de la plaque. Elle fait des raisonnement logique et tout d’un coup des pensées frappa-dingue lui viennent à l’esprit. C’est très drôle, et je ne pensais pas que l’auteur pouvait faire mieux niveau humour que les deux premiers, mais si, elle a réussi avec ce troisième.
- J’ai été très surprise de la tournure prise par la relation entre Charley et Reyes, mais cela change des histoires d’amour dont ont à l’habitude et tant mieux. De nouveaux personnages apparaissent, et il semblerait qu’ils seront là pour le tome suivant. Tome que je vais difficilement attendre. ^^

Extrait début du chapitre premier :
"La mort vient à ceux qui savent attendre.
Ainsi qu’aux autres. Alors, de toute façon...
Charlotte Jean Davidson, Faucheuse

Il y avait un clown mort assis dans mon salon. Puisque je n’aimais pas particulièrement les clowns et qu’il était bien trop tôt pour que des paroles cohérentes sortent de ma bouche, je fis semblant de ne pas le voir. Je bâillai bruyamment en me dirigeant vers la cuisine."

412 pages

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