lundi 13 août 2012

Les Cités des Anciens, Tome 3

♥ Tome 3 – La Fureur du Fleuve 
de Robin Hobb

Résumé du quatrième de couverture :
Graffe, qui souhaite régenter le groupe, se heurte à la révolte de Thymara, alors que Sédric tombe malade après avoir volé le sang du petit dragon cuivré et constate avec effroi d’étrange modifications chez lui. Leftrin et Alise se retrouve confrontés à de terribles dilemmes… Et  chacun suit la migration des dragons vers Kelsingra, une cité qui n’existe peut-être pas. Mais, alors que la situation paraît bloqué pour tous, un événement imprévu et catastrophique vient redistribuer les cartes…

Mon avis :
Un magnifique volume ! L’expédition se trouve confronté aux réalités de la nature et même à une sacrée surprise qui va leur coûter très cher.
Ah, et il y a bien une histoire d’amour homosexuelle. Robin Hobb avait déjà abordé ce thème dans l’Assassin Royal, mais ici, il me semble que cela sera plus poussé et tant mieux. Sédric évolue dans une direction qui me plaît bien et j’ai trop hâte de lire le prochain volume pour voir comment vont réagir les autres personnages à ses changements. Je déteste vraiment le personnage de Jess et il mérite vraiment son sort. Par contre, j’aimais beaucoup Kanaï et j’espère que l’on va le voir à nouveau.
Les changements que subissent les dragons sont aussi très grands, surtout au niveau de leur physique. Je me demande ce qui leur permet de grandir enfin comme ils étaient censés naître. Est-ce juste la décision de prendre leur destin en main ou bien y a-t-il quelque chose dans l’eau du fleuve qui les fait changer, tout comme changent les habitants du Désert ?
Je n'ai même pas envie de faire une commentaire sur la couverture. si ce n'est qu'ils pourraient se décider sur l'apparence des dragons une bonne fois pour toute ! Des ailes de papillons  non mais vraiment ?!
Vivement la suite ! ^^

Extrait du début du prologue :
"Les humains étaient agités ; Sintara percevait leurs pensées qui allaient et venaient, piquantes, aussi agaçantes qu’un essaim d’insectes. La dragonne s’étonnait qu’ils eussent réussi à survivre alors qu’ils étaient incapables de garder leurs émotions pour eux ; l’ironie de la situation voulait que, projetant à tous les vents les fantaisies qui leur passaient par l’esprit, ils n’avaient pas l’intellect assez fort pour sentir ce que pensaient leurs semblables."

398 pages

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