lundi 13 août 2012

Les Cités des Anciens, Tome 2

Tome 2 – Les Eaux Acides
de Robin Hobb
Résumé du quatrième de couverture :
Le grand jour se profile : Alise comme Thymara vont enfin se trouver face aux dragons, l’une pour assouvir sa soif de connaissances, l’autre pour les conduire, avec un groupe de jeunes gens comme elle, jusqu’à la légendaire cité des Anciens, Kelsingra. Ce qu’elles ignorent, c’est que cette rencontre changera leur existence. Alise va faire un choix qui met en péril sa réputation et son mariage. Thymara, elle devra peu à peu remettre en cause les règles qui régissent sa vie depuis sa naissance. Toutes deux apprennent à se connaître face à des adversaires qui habitent parfois au fond d’elles-mêmes.

Mon avis :
Enfin, les personnages que j’ai découverts dans le premier tome se rencontrent. D’abord, j’ai cru que Leftrin était un homme mauvais. Il m’a beaucoup surprise et j’ai hâte de savoir comment va tourner sa relation avec Alise. Qu’elle se lâche un peu. On apprend à connaître les gardiens, et il y en a plusieurs que j’apprécie. Mais je ne sais pas encore quoi penser de Graffe. A pauvre Sédric, il en prend plein la figure dans ce volume, j’espère qu’il ne tournera pas mal. Sintara me tape un peu sur le système, pour l’instant je n’aime pas trop sa personnalité.
Le début du voyage semble prometteur, et j’espère que Robin Hobb nous fera découvrir les merveilles du Désert des Pluies. J’ai déjà beaucoup aimé les villes-arbres dont les descriptions sont très originales.
Par contre, la couverture est encore pire que la première. Elle est sensée représenter la dragonne Sintara et Thymara. Thymara est sensée avoir des griffes, et avoir des écailles sur le visages et quelques barbillions. On dirait ici, une belle jeune fille normale. La blague !

Extrait du début du chapitre un :
"Accoudé au bastingage, Leftrin se redressa pour regarder sur le quai la procession qui se dirigeait vers le Mataf. Etait-ce l'envoi de Trell ? Il se gratta la barbe et secoua la tête. Deux portefaix poussaient des brouettes chargées de coffres pesants, deux autres les suivaient avec un objet de la taille d'une armoire, et derrière eux venait un homme vêtu de façon plus appropriée pour un thé à Terrilville que pour un périple en gabare sur le fleuve du Désert des Pluies : il portait une longue veste bleu marine par-dessus un pantalon gris tourterelle, des bottes noires, et il allait nu-tête."

397 pages

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