vendredi 4 mai 2012

Kara Gillian, Tome 2

Tome 2 – Le Sang du Démon
de Diana Rowland
★★★★
Résumé du quatrième de couverture :
Kara aimerait remettre sa vie sur les rails. Mais, enquêter sur l’assassinat de plusieurs personnes dont l’essence a été dévorée n’est pas le meilleur moyen d’y parvenir. D’autant que les démons lui conseillent de se méfier de Ryan, son collègue sexy, pour une raison qu’elle ignore. Et pour finir, elle ne pas pouvoir résoudre ces meurtres et ce mystère sans l’aide du séduisant et insatiable Rhyzkahl. Entre paradis et enfer, homme et démon, elle est sur le point de faire l’ultime sacrifice…

Mon avis :
- Ce tome me donne surtout envie de lire le suivant. Il est un peu moins bien que le premier, mais laisse présager beaucoup mieux pour le suivant. Le point le plus négatif, c’est que le beau Rhyzkahl n’apparaît que trois fois, c’est très peu sur presque 500 pages.
- Cette fois,    l’histoire tourne presque entièrement autour de Kara et de Ryan, qu’on apprend un peu mieux à connaître, mais qui garde cependant tout son mystère. 
- L’enquête policière est un peu moins intéressante, et surtout mise à part le côté surnaturel, assez banale. Mais comme dans le premier, je n’ai pas réussi à découvrir qui était le coupable avant la toute fin.
- Vivement le tome trois !

Extrait début du premier chapitre :
"Le démon n'était pas grand-chose de plus qu'une mâchoire au milieu d'une nappe de brouillard, à peine visible à l'oeil nu. Il serpentait en lentes ondulations sur le siège arrière de ma Taurus tandis que je filais à travers la nuit, et les vibrations de mes pneus sur l'asphalte offraiaent un accompagnement rythmé à ses mouvements."

478 pages

Codex Aléra, Tome 2

Tome 2 – La Furie de l’Academ
de Jim Butcher
★★★★☆

Résumé du quatrième de couverture :
Depuis des siècles, les habitants d'Aléra s'aident des furies - les forces élémentaires de la terre, de l'air, du feu, de l'eau, du bois et du métal - pour protéger leur monde des agressions. Mais nulle furie ne peut les sauver des dangers qui les menacent de l'intérieur.
Une mystérieuse attaque venue de par-delà l'océan a affaibli le Premier Duc. S'il perd le trône, une sanglante guerre civile sera inévitable. La responsabilité de parer les tentatives d'assassinat et les trahisons au sein du cercle d'espions du Premier Duc retombe sur les épaules de Tavi, le seul homme dépourvu de furies...

Mon avis :
Ce deuxième volume est un peu moins bien que le premier. Il se déroule deux ou trois années après l’intrigue du premier. Tavi s’est déjà totalement habitué à la vie de la capitale, ce qui est bien, mais aussi dommage d’une certaine manière ; il manque quelque chose.
Je ne trouve pas l’ennemi suprême très convainquant et surtout, il me paraît un peu déplacé. Je ne sais pas pourquoi. Dans le même sens j’ai trouvé, que contrairement au premier, les événements étaient un peu trop téléphonés.
Par contre, j’ai adoré la manière que la relation entre Tavi et la jeune Marat évolue. Des surprises et des fous rires en perspective !
J’ai hâte de lire la suite. ^^

Extrait début du prologue :
"Si le début de la sagesse réside dans la prise de conscience qu’on ne sait rien, alors le début de la compréhension réside dans la prise de conscience que toute chose existe en accord avec une vérité toute simple : les grandes choses sont faites de petites choses.
Les gouttes d’encre forment des lettres, les lettres des mots, les mots des phrases, et les phrases se combinent pour exprimer la pensé. Il en va de même pour les plantes, qui se développent à partir d’une graine, ou pour les murs, qui sont construits par l’assemblage de pierre nombreuses. Il en va de même pour l’humanité, car les coutumes et les traditions de nos ancêtres fusionnent pour former les fondations de nos propres villes, de notre propre histoire, de notre propre mode de vie.
Roche inanimée, chair vivante ou mer houleuse ; temps morts de l’histoire ou événements dévastateurs aux proportions mondiales, jours de marché ou batailles désespérées, tout ce tient à cette loi :
Les grandes choses sont faites de petites choses.
L’importance est cumulative – mais pas toujours évidente.
Extrait des écrits de Gaius Secundus
Premier Duc d’Aléra"

569 pages